Accueil > Actualité > Brèves > Arezki Aït-Larbi arrêté par la police algérienne des frontières

Arezki Aït-Larbi arrêté par la police algérienne des frontières

vendredi 27 avril 2007, par Masin

Le jeudi 26 avril 2007, la police algérienne a procédé à l’arrestation du journaliste kabyle Arezki Aït-Larbi, par ailleurs correspondant des quotidiens français Le Figaro et Ouest France, à l’aéroport d’Alger. En effet, Arezki Aït-Larbi s’apprêtait à embarquer pour Paris.
Selon le site Internet Kabyles.com, le journaliste a été présenté devant le procureur d’El Harrach avant d’être transféré au commissariat central d’Alger. Selon la même source, Arezki Aït-Larbi aurait été remis en liberté le jour même et il aurait reçu une convocation pour se re-présenter au commissariat central d’Alger samedi 28 avril à 8h30 afin qu’il soit présenté devant le Procureur de la république (comme s’il y en avait une !) qui, selon toujours la même source, décidera des suites à donner à son "affaire".
De quelle affaire pourrait-il s’agir ?

Il faudra peut-être, rappeler qu’en mai 2006 Arezki Aït-larbi apprend qu’il était sous le coup d’un mandat d’arrêt lancé contre lui le 4 août 1997. Il serait l’objet d’un "procès" qui a aurait eu lieu en 1997 à propos d’une lettre qu’il aurait écrit en 1994. Et comme par hasard, à l’occasion d’une demande de renouvellement de passeport auprès de l’administration algérienne qu’il apprend cette nouvelle "justifiée" par sa condamnation à six mois de prison ferme lors d’un "procès" qui a aurait eu lieu en 1997 à propos d’une lettre qu’il aurait écrit en 1994. Il a fallu une vaste mobilisation autour de lui pour se voir délivrer son passeport à la fin du mois de novembre 2006.

La Rédaction

Lire l’information sur Kabyles.com

Messages

  • azul

    Ce n’est pas nouveau car ils arretent les algériens meme à l’étranger.

    Il faut organiser une grande marche pour
    le liberer meme si cette marche conduirera à des affrontements avec les
    forces de desordres de l’étatat.

    Il ne faut jamais laisser les boujies du
    bled s’etteindre.

    A l’occasion, je demande à tous ( les vrais algériens ) de ne pas voter et de rester chez eux : ( preparer du manger, mieu que de preparer de fauses élèctions ).

    tadmirth

    Adjiri Mohand Cherif