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Jean Amrouche, l’éternel exilé
Choix de textes (1939 - 1950)
mardi 23 décembre 2003, par
Réunis et présentés par Tassadit Yacine
Un ouvrage de 130 pages illustré de photographies inédites, format 10,5 x 19 cm.
Awal-Ibis Press
Jean Amrouche,
l’éternel exilé
Choix de textes (1939 - 1950)
réunis et présentés par Tassadit Yacine
« Je suis le témoin d’un phénomène assez singulier, le résultat d’une greffe de culture française sur un rameau jailli de la plus ancienne souche humaine de l’Afrique du Nord. Berbère de race et resté en contact étroit avec les hommes de mon sang, je suis français par la formation spirituelle, et l’on peut voir en moi, unies d’une manière particulièrement intime la France et l’Afrique, d’une manière si intime qu’il m’est impossible de démêler ce que je dois à l’une et à l’autre. » écrivait, en 1937, Jean Amrouche à propos de Delacroix.
L’itinéraire singulier de Jean Amrouche est peut-être aujourd’hui celui de toute une génération d’Algériens en désarroi. La vision prémonitoire du poète situe l’homme à un niveau de transcendance peu commun. Cette alliance harmonieuse de deux dimensions en apparences antagoniques est celle qu’il projette sur le pays même de ses ancêtres : « Ce pays c’est le désert, et ce peuple, le peuple berbère. La frange méditerranéenne de l’Algérie, avec ses beautés marines, fait partie d’un autre monde. Elle n’est algérienne qu’autant que passe sur elle le souffle du désert. »
Un ouvrage de 130 pages illustré de photographies inédites.
Au format 10,5 x 19 cm.
Prix public : 10 €
Messages
1. > Jean Amrouche, l’éternel exilé , 13 octobre 2005, 21:09, par ellio lumbroso
Moi , je me souviens de Jean Amrouche alors qu’il était mon professeur de littérature francaise au Lycée Carnot de Tunis , et j’en garde un souvenir extraordinaire , celui d’un homme d’une vaste culture , et ,surtout , d’un communicateur hors-pair. Son enseignement m’a ouvert les portes de la connaissance .
Ellio Lumbroso
2. > Jean Amrouche, l’éternel exilé , 29 octobre 2005, 15:06, par mohand
les amrouche avaient un grand
attachement au sol de nos ancêtres et
surtout ils avaient gardé les chants berbère de kabylie merci