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Un servile peut-il séduire ?

samedi 31 mars 2007, par Yafelman

L’Institut royal de la culture amazighe (IRCAM) a organisé récemment une opération de séduction. "La caravane internationale du Tifinagh" s’est rendue en Espagne, en France, aux Pays Bas, en Belgique et en Allemagne. Le but étant de convaincre les chercheurs, les journalistes et les acteurs du mouvement amazigh en Europe de promouvoir "Tifinagh-Ircam".

Retour sur une mission impossible.

Illustres inconnus dans le monde de l’édition et de l’écriture en langue amazighe à Tamazgha occidentale, aucun des membres de cette caravane n’a jamais publié quoi que ce soit en langue amazighe. Aucun d’eux n’a fait des études de linguistique ou de langue et civilisation berbères. N’en parlons pas d’anthropologie et d’autres disciplines. Que dire des relations douteuses et occultes qu’entretiennent certains d’entre eux avec une banque arabiste [1]. Et dire qu’ils sont venus en Europe pour convaincre des étudiants, des cadres, des journalistes et des Berbères européens acquis aux caractères latins.

Comment convaincre les autres lorsque l’on ignore les problèmes que pose la notation de la langue amazighe en caractères "tifinagh" ? Comment convaincre alors qu’on n’a jamais écrit quoi que ce soit en latin ou en tifinagh ? Les preuves sont là. Visibles à l’œil nu.

Pourquoi l’Ircam, fort d’un budget de 9,8 milliards de dirhams, n’organise pas une caravane pour convaincre les municipalités et les mairies de l’Etat marocain de laisser respirer l’écriture amazighe. On se rappelle, tous, de l’opération menée à Nador dans le Rif par les pouvoirs publics qui ont arraché tous les panneaux écrits en Tifinagh, mis en place par le conseil municipal de la ville.
Pourquoi l’Ircam n’a pas fait appel à ses "écrivains" et "poètes" qui ont déjà publié des livres en Tifinagh-Ircam pour la promotion de leurs livres et de la graphie "tifinagh" en Europe ? La raison est simple. Ces auteurs se cachent dans leur solitude et ne peuvent plus s’afficher dans les lieux publics. Une honte. Ils ont vendus leurs œuvres et leur honneur pour quelques billets bleus. Ils ont troqué leur intelligence contre de l’argent. Leurs œuvres sont passées inaperçues malgré leur étalage des semaines durant sur le plus grand boulevard de Rabat. L’Ircam ne sait plus où se donner de la tête face à ses livres invendus qui inondent ses sous-sols, a-t-on appris auprès d’un fonctionnaire de l’Institut. Pas d’articles dans les journaux. Pas de critiques. Lorsqu‘on constate l’engouement provoqué par les œuvres parues en caractères latins, on constate l’étendue des dégâts de la graphie "bêtise-ircam".

Handicapé de naissance, l’Ircam ne veut rien comprendre. Un esclave de la monarchie ne peut pas comprendre pour la simple raison qu’il est hypnotisé par les trébuchantes. Ce qui compte pour lui, ce n’est pas la langue de sa mère, mais l’argent et les douces paroles de ses maîtres.

Déçu, un auteur d’un talent extraordinaire et très connu a arrêté d’écrire en tamazight après la parution de son livre à l’Ircam. Il était toujours dans l’obligation de justifier aux autres la cause de son choix de la graphie "tifinagh". Il s’est mis alors à la langue de Molière et a publié un livre. "A Dieu Tamazight". Ce grand "Asekkif n Inz’aden" [2].

Qui veut sa dose en "tifinagh-Ircam" ?

L’un des objectifs inavoués de l’Ircam est d’implanter les graines de l’arrivisme et de la mesquinerie dans les cœurs des Imazighen assoiffés de justice et de liberté. Les sept démissionnaires et les chercheurs (historiens, photographes professionnels et autres) qui l’ont quitté en savent quelque chose. Ils doivent apporter leur témoignage.
Ceci n’est pas un secret de polichinelle. Plusieurs intervenants, lors du passage des "chameaux de la caravane" à Paris, avaient mis l’accent sur ce constat. Les balbutiantes réponses, dites dans un français approximatif, des intervenants étaient loin d’être convaincantes.

Tamazight, langue et identité, importe peu pour eux. Ils étaient là pour autre chose. Une mission des plus périlleuses. "Les Berbères sont les meilleures interlocuteurs entre le Maroc et l’Europe". A écouter une telle déclaration, on dirait que les Berbères ont leurs droits, sont heureux sur leur terre et cherchent à discuter et à nouer des liens avec d’autres nations. Et avec qui ? Avec l’Europe, ce géant économique et stratégique. Quel mensonge !

En quelle qualité étaient-ils là ? Qui les avaient délégués pour parler au nom d’un peuple qu’ils méprisent ? Comment admettre que les Berbères, ce peuple colonisé dans sa chaire, peuvent-ils jouer ce rôle de meilleur interlocuteur ? De quel dialogue parlent-ils ? Sur quoi dialogueront-ils ?
Les "chameaux" n’en savent pas trop. Ils sont payés pour marcher sur les pas de la caravane alaouite.

Heureux sont les guerriers rifains, tués à 1921 à Anoual et à Dhar U-Barran par les Espagnols, et en 1958 et en 1984 par Hassan II. Ils n’ont rien vu. Peuple trahi par son propre sang.

Yafelman

[1] Nous reviendrons avec détails sur ce sujet dans un prochain article...

[2] "Soupe de poils", titre d’un roman de Ali Ikken publié par l’Ircam, il se dit pour désigner un grand problème.

Messages

  • certainement qu’un servile ne peut pas séduire .précisément ne peut pas intéresser .la séduction étant une œuvre basée toujours sur la mal, sur quelque chose de maléfique .étant servile lui même il veut a tout prix attirer d’autres dans son sillage pour se légitimer " voyez-vous untel est avec nous, l’autre aussi, on est bien nombreux a être comme ça et a travailler de la sorte. tamazight se travaille aussi dans l’Ircam pourquoi pas ?"c’est le genre de discours-venin que les ircamistes essayaient de banaliser au lendemain de la création de l’Ircam.,pire encore un membre imminent de cette institution avait déclarer que maintenant que l’ircam est la les associations ont accompli leur mission et leur raison d’être n’est plus.
    ceux qui se sont fait des illusions de bonne foie ont compris qu’il n y a rien a espérer et ont claqué la porte individuellement ou collectivement. ceux qui y sont toujours ne sont que des mercenaires a la solde de la mauvaise foie. on y est payé certes mais pour faire la salle besogne.:exécuter la politique makhzanienne et sa conception de l’amazighité. cela n’est point surprenant puisque l’ircam est l’un des appareils idéologique de l’Etat qui rempli sa fonction d’aliéner au nom d’une tamazight vidée de son sens et de sa sève libératrice. on y parle de tamazight certes mais une tamazight dont le rôle est encore d’asservir les berbères et stopper leur élan de libération .la même tamazight que le parti du Mouvement Populaire utilisait pour assujettir les berbères a la monarchie a la fin des années 1950.
    on a vu les ircamistes exécuter la double besogne d’esclaves. dans les régions ou ils se rendaient, il annonçaient que tamazight a eu ses droit que l’état la reconnaît et qu’il n y a plus aucun problèmes. d’autres part, ils montraient du doigts les militants indépendants du MCA et les associations militantes en les taxant de radicaux .alors que tout le monde connaît la plateforme de revendication de tout militant honnête.
    évidemment que quand on est vendu on espère que tout le monde soit vendu pour que l’exception ne soit pas une honte .quand on n’a jamais compris le sens profond de tamazight on ne peut que la troquer contre quelques sous .les ircmistes ne sont que des outils de manipulations ni plus ni moins .l’ircam ,vu amazighement, n’est pas une institution souveraine .il a été parachuté dans la paysage politique et culturel marocain sans regard des revendications des berbères .en plus il n y a eu aucun dialogue , il n y a que des ordres du dahir qui l’a institué, et les membres sont nommés désignés et pas élus.
    juste avant la création de l’ircam. les imazighens débattaient des perspectives du combat, l y avait a l’horizon la grande marche Tawada, le projet d’une organisation nationale amazighe etc,tous ces projets sont tombés dans l’eau .
    aujourd’hui que la critique de l’ircam est faite, que ses dessins sont compris, il reste a continuer le même sentier de lutte : continuer a produire en tamazight et continuer a mobiliser, encadrer les imazighens pour mener des batailles partout, dans les lycées, universités, les villes, campagnes, les montagnes , partout .en travaillant sérieusement et honnêtement le mouvement prendra de l’ampleur et imposera sa manière de voir.
    reste a dire pour les caravaniers de tifinagh-ircam , qu’ils sont des lâches qui profitent des luttes faites par les grand hommes, les vrais amazighs..

  • Je te tire chapeau mon cher Yafelman !
    Combien notre Amazighetude a vivement besoin des tetes comme la tienne et j’achève par te dire :
    Ayyuz ay alasid turew tsedda !

  • certainement qu’un servile ne peut pas séduire .précisément ne peut pas intéresser .la séduction étant une œuvre basée toujours sur la mal, sur quelque chose de maléfique .étant servile lui même il veut a tout prix attirer d’autres dans son sillage pour se légitimer " voyez-vous untel est avec nous, l’autre aussi, on est bien nombreux a être comme ça et a travailler de la sorte. tamazight se travaille aussi dans l’Ircam pourquoi pas ?"c’est le genre de discours-venin que les ircamistes essayaient de banaliser au lendemain de la création de l’Ircam.,pire encore un membre imminent de cette institution avait déclarer que maintenant que l’ircam est la les associations ont accompli leur mission et leur raison d’être n’est plus.
    ceux qui se sont fait des illusions de bonne foie ont compris qu’il n y a rien a espérer et ont claqué la porte individuellement ou collectivement. ceux qui y sont toujours ne sont que des mercenaires a la solde de la mauvaise foie. on y est payé certes mais pour faire la salle besogne.:exécuter la politique makhzanienne et sa conception de l’amazighité. cela n’est point surprenant puisque l’ircam est l’un des appareils idéologique de l’Etat qui rempli sa fonction d’aliéner au nom d’une tamazight vidée de son sens et de sa sève libératrice. on y parle de tamazight certes mais une tamazight dont le rôle est encore d’asservir les berbères et stopper leur élan de libération .la même tamazight que le parti du Mouvement Populaire utilisait pour assujettir les berbères a la monarchie a la fin des années 1950.
    on a vu les ircamistes exécuter la double besogne d’esclaves. dans les régions ou ils se rendaient, il annonçaient que tamazight a eu ses droit que l’état la reconnaît et qu’il n y a plus aucun problèmes. d’autres part, ils montraient du doigts les militants indépendants du MCA et les associations militantes en les taxant de radicaux .alors que tout le monde connaît la plateforme de revendication de tout militant honnête.
    évidemment que quand on est vendu on espère que tout le monde soit vendu pour que l’exception ne soit pas une honte .quand on n’a jamais compris le sens profond de tamazight on ne peut que la troquer contre quelques sous .les ircmistes ne sont que des outils de manipulations ni plus ni moins .l’ircam ,vu amazighement, n’est pas une institution souveraine .il a été parachuté dans la paysage politique et culturel marocain sans regard des revendications des berbères .en plus il n y a eu aucun dialogue , il n y a que des ordres du dahir qui l’a institué, et les membres sont nommés désignés et pas élus.
    juste avant la création de l’ircam. les imazighens débattaient des perspectives du combat, l y avait a l’horizon la grande marche Tawada, le projet d’une organisation nationale amazighe etc,tous ces projets sont tombés dans l’eau .
    aujourd’hui que la critique de l’ircam est faite, que ses dessins sont compris, il reste a continuer le même sentier de lutte : continuer a produire en tamazight et continuer a mobiliser, encadrer les imazighens pour mener des batailles partout, dans les lycées, universités, les villes, campagnes, les montagnes , partout .en travaillant sérieusement et honnêtement le mouvement prendra de l’ampleur et imposera sa manière de voir.
    reste a dire pour les caravaniers de tifinagh-ircam , qu’ils sont des lâches qui profitent des luttes faites par les grand hommes, les vrais amazighs..

  • Ecoutez , je l’ai bien dit le jours où cette caravane est arrivée à la mairie du 17eme à Paris et je le redis, moi qui suis formé au 2 caractères (latin et tifinagh), je ne pourrai jamais opter pour ce dernier Bien que c’est notre alphabet d’origine. Dans les entretiens que j’ai faits avec les enseignants de tamazight de Tizi-Ouzou, dans le cadre de ma recherche universitaire , aucune attitude favorable pour écrire tamazight en tifinagh n’a été relevée. En tout cas , en Algérie, on a tranché, l’écriture latine est bel et bien le support graphique de tamazight du moins pour le kabyle. Bref, tifinagh reste juste un caractère symbolique et le latin était , il est et sera toujours le vehicule de la langue de Mammeri.

    • tanmirt ay Aksil

    • azul a imazighn.je suis pas d’accord avec toi AKSIL car c’est tifinagh qui est le symbole de la langue et de la culture amazigh .c’est elle qui marque notre singularité comme peuple amazigh.pourquoi on doit ecrire notre langue avec un alphabet qui est pas le notre,alors quand on a notre propre alphabets.il faut aimer tout se qui appartiens a notre civilisation ,a notre histoire.si en suit se chemin on va changer le azza,ou,yaz qui au milieu de notre cher drapeau et en va opter plus tard pour les prenom europeens et ainsi de suite .
      ou lieu de dire ,il faut opter pour l’alphabet latin ,on doit imposer notre tifinagh dans le monde comme on fait les peuples asiatiques(chinois,japonais,coreen,indiens...).......moi j’aime tifinagh parceque c’est une invention du peuple amazigh qui remonte a des milinaires et des milinaires est j’ose pas me permettre de lui prefferer un alphabet quelconque car tamazighte et tifinagh sircule dans mon sang et j’en est fier

    • Quel âge as-tu Hysham ?
      tu ne sais pas que tu parles dans l’air !
      Combien de livres as-tu lu en tifinaghs que tes ancêtres ont inventées ?
      Et si tu as des tifinaghs dans ton sangs, alors tu dois avoir mis un burnous amazigh ou une djellaba de montagne ! pas de jean, pas de jaquette ! c’est pas amazigh ça.
      Tu vois où ça te mène cette folie et cet esprit nomade.
      Ce qui a de la valeur en matière d’écriture amazighe est fait -et se fait encore- en carcatères latins. Sais-tu que des romans, des dictionnaires et des recherches universitaires sont faits en caractères latins ?
      qu’est-ce que tu feras avec tout ça ? à brûler ou à oublier ?
      Tamazight ne va pas commencer à s’écrire avec l’intervention du Makhzen et de ses esclaves amazighs.
      Et pour garder un lien avec tifinaghs, est-ce que les tifinaghs du Makhzen sont d’origine ? je ne crois pas car c’est du bazar. Alors, Hysham, ne sois pas bête ! Recherche de nouvelles idées et fais attention à ce que tu dis !

  • 9,8 milliards de dhs (milliard d’Euros) c’est le budget d’un pays africain ! Waw

  • Quand Yafelman a évoqué l’operation contre les panneaux en tifinaghs à Nador, il a oublié que cette manipulation allait dans le sens de la propagande contre l’utilisation des caractères latins. Les concepteurs de ce gag sont des makhzeniens du Rif -pas comme Abdelkrim- qui ont été payés pour cette sale besogne. Le grand responsable de cette petite mascarade a divulgué dans un journal qu’il y a eu discussion de ce projet avec Mohamed Chafiq le Grand makhzenien des amazighs marocains. On oublie souvent qu’il était directeur du collège royal sous Hassan II. Ce dernier lui a commandé un dictionnaire Arabe Amazigh ; ce qu’il fit ; notre grand directeur soumis acceptait de transcrire tamazight en caractères arabes. Il y en a 3 tomes de vermicelles amazighs.
    Les mercenaires amazighs des temps modernes ont accepté d’aller casser leurs "frères" et "soeurs" en Europe et leur propager le virus de la soumission ; à commencer par l’utilisation des tifinaghs du Makhzen.

    • Chafik Mohamed a été l’un des ingenieurs de la nouvelle politique makhzenienne.il s’est occupé des nouvelles"élites amazighes" qui ne sont pas dans le sillage d’Aherdan.ce dernier a su aliener les imazighen enturbannés, mais le mouvement amazigh est composé d’ores de jeunes intellectuels et des étudiants et autres couches de la société.il a fallu penser a une figure plus convaincante pour jouer le même role.ce fut l’accademicien Chafik qui s’en est occupé.il était l’instigateur du pretendu manifeste amazigh.manifeste en rupture avec la Charte d’Agadir et la plateforme du MCA.ils ont acceleré le processus de la confection d’une nouvelle politique de soumission via l’IRCAM.Chafik, a instrumentalisé toute l’équipe de l’association Asidd de Meknes qui lui a rendu beaucoup de services.le couple Chafik-Aourid ont bien su reproduire le meme schema des année 1958-59.quand les imazighens se reveillent pour prendre leur destin en main, le makhzen utilise certaines élites berberophones pour recuperer tout l’heritage militant au profit du makhzen et contre l’interet des imazighens.Aherdan l’avait fait avec le MNP, aujourd’hui les acteurs sont nombreux:Chafik,Aourid, l’ircam , les pseudo-CMA-istes de Nador, certains soussis plein de soucis etc.
      on a toujours menti aux imazighens, on leur a toujours récuperé leurs luttes, il est temps que cesse cette hémorragie.

  • A ma connaissance, la Fondation David Hart que ce mercenaire de Raha préside n’exsite pas de tout. elle avait existé avec une seule personne comme membre de bureau et du conseil d’administration : Raha. Ce type malhonète a pillé la bibliothèque du pauvre Hart au nom de cette fondation. selon les dernières infos, Raha essaye de ramerner tous les livres au Maroc, comme ca ils sont dispersés entre Granada, Mlilia et Rabat. A Dieu Hart !

    Raha n’est ni journaliste, ni anthropologue, ni médecin, ni ... il n’est rien. Ce qu’il est rééllement c’est un lécheur des bottes du pouvoir et de ses enfants. il est, pour ceux qui ne le connaissent pas encore, membre du Conseil d’administration de BMCE Bank, une banque arabiste qui prostitue tamazight !

    Son "journal" est financé par cette bank ...

    mésirabélisme quand tu nous tient !

  • Pourquoi le site www.amazighworld.org laisse publier des écrits à la Une bourrés de fautes d’orthographe ? Comme ce communiqué signé par Rachid RAHA directeur du journal « Monde Amazigh » avec de graves fautes et un français approximatif.

    Je doute qu’il soit anthropologue ou soi-disant rédacteur en chef du dit journal !

    Journal financé par BMCE Bank qui appartient à Othmane BENJELLOUN le mari de la fille du maréchal Mezzian qui a arrosé les rifains par les armes chimiques et qui les a naplamé pendant la guerre du Rif en 1921 avec Franco et pendant le soulèvement du Rif en 1958 avec Hassan 2.

    C’est grave pour la réputation du portail et c’est aussi une honte pour les élites amazighes de se faire re-présenter par ces personnages !